Rôles sexuels dans la relation

Cette semaine, il y a eu une confidence intéressante sur le Courrier du Coeur de RéseauContact:

Faire les premiers pas...

Je suis en couple depuis 7 mois maintenant. Mon copain et moi habitons déjà ensemble, et nous filons le parfait bonheur.

Je file droit au but: On fait l'amour au moins 4 ou 5 fois par semaine, ce qui, je l'admets, est beaucoup, mais c'est toujours lui qui fait les premiers pas. Mon problème: je ne sais pas comment les faire!

Il est si patient et compréhensif. Il me considère comme étant très "open" et n'a aucune objection à me laisser tout le temps qu'il me faut. Mais je n'y arrive pas! Il est nu devant moi, il sait que j'ai envie, mais s'il me dit "allez, donne moi le goût" je fige. Alors c'est toujours lui qui fait les premiers pas.

J'aimerais avoir des idées, des suggestions. Qu'est-ce qui m'aiderait à faire les premiers pas, à le rendre complètement dingue? Comment est-ce que je pourrait l'allumer, sans qu'il ait à faire quoi que ce soit?

Merci!

Malheureusement, les assidusdu Courrier du Coeur étants surtout composésd'Âmes Blessées, ça n'a pas été long pour qu'un paquet d'interventions visant à blâmer le gars surviennent !

"...il est très maladroit ton amoureux, il ne te laisse jamais le désirer, avoir envie de lui, imaginer...il se fout tout nu devant toi et t'ordonne de partir la machine pour un ti tour de manège...pas fort...pas fort pantoute..."

"...Il ne vous laisse même pas le temps de le déshabiller et de le désirer..."

"...Par expérience je peux te dire que c'est pas tout à fait toi le probleme ma chere mais bien monsieur qui ne sais pas s'y prendre.."

Et un paquet d'autre encore...

Je n'interviens plus beaucoup sur RéseauContact. Cette confidence, par contre, m'a "inspiré". J'ai donc écris l'intervention suivante:

Oh là là! J'interviens au plus vite avant que cette confidence ne continue à devenir une séance de critique sur les techniques de séduction de votre conjoint.

On parle ici des "premiers pas" pour instiguer une relation sexuelle... pour signifier à l'autre qu'on a envie de faire l'amour. Et, non, dans la vie de couple, ce n'est pas toujours une séance de "danse nuptiale" de dîner aux chandelles suivi d'un bain tourbillon et d'une séance de massage aux huiles
parfumées !!!

Ceci étant dit, ce genre de scénario pourrait fort bien être une excellente idée pour votre première tentative de "séduction".

Ce que je comprends de la confidence, je le comprends avec mon point de vue masculin et, sans vouloir parler pour tous les hommes, je peux quand-même prétendre en représenter un pourcentage significatif avec les affirmations qui vont suivre. Attention, ça va peut-être vous surprendre...

Nous, les hommes, malgré qu'on aime bien notre rôle traditionnel d'être celui qui "ouvrira la danse"... celui qui, le premier, apposera des caresses plus intimes, plus sexuelles de nature... afin d'induire en vous mesdames l'envie de nous offrir vos charmes... on apprecierais beaucoup plus que vous
semblez en général le penser que les rôles s'inverseraient de temps à autres.

Et que les esprits malveillants se calment ! N'allez pas déduire que je me plains sur mon sort. Je n'ai pas ce problème dans mon couple actuel... et, pour moi, c'est un signe additionnel de ma chance d'avoir réussi à me trouver une "winner" et une "keeper" ! ;-)

Mais, j'ai déjà connu ça... des partenaires qui, toutes leur vies, ont pensé qu'il était de l'essor exclusif de l'homme de faire les "premiers pas". C'est de la foutaise ! Nous aussi, on aime se sentir désirés sexuellement.

Et, si vous pensez que nous donner accès à votre corps APRÈS qu'on a pris le temps de vous caresser, vous séduire et graduellement vous exciter suffit, détrompez-vous ! C'est bon pour notre Égo de Séducteur... mais ça ne fait rien pour que l'on se sente désirés par vous.

Comprenez-vous la différence entre induire en vous le désir sexuel (avec caresses et séduction) et le susciter spontanément ?

Bon ! Ça, c'était le concept général. Voyons le pratico-pratique pour le bénéfice de la Confidente (et toute autre femme ouverte d'esprit!) maintenant.

Ce n'est plus un grand secret, en 2006 (bientôt 2007!) que, vous aussi les femmes, avez des pulsions sexuelles ! Vous aussi, c'est dans la tête que ça commence et que ça peut arriver là avant même qu'on ne vous touche.

La première chose à faire est donc de vous mettre vous-même dans le bon état d'esprit propice à vous exciter sans l'intervention de votre conjoint.

Si vous parvenez à ceci, si vous avez spontanément envie de séduire et faire l'amour à votre conjoint... Y'EN A PLUS, DE PROBLÈMES ! Le reste est hyper facile ! ;-) Le reste, ce n'est que votre gêne et votre timidité... et, si vous aimez et avez confiance en votre conjoint, ça devrait être facile à surmonter!

On a pas 56 zones érogènes réparties sur tout notre corps, NOUS ! ;-) On en a deux: Le pénis... et les yeux. Stimulez l'un, l'autre ou les deux, pis vous ête "en buisiness" !

Pour le yeux, un strip-tease langoureux sur musique lascive. Un déshabillé sexy. Pas difficile !

Pour l'autre partie de l'anatomie...c'est encore plus facile ! Le toucher, tout simplement. Même si la fellation n'est pas pour vous, ce n'est pas grave! Vous avez vos mains. Touchez le, caressez le. Examinez-le de près...

Juste le principe que ce soit vous qui posiez des gestes pour faire monter EN LUI le désir, plutôt que le contraire comme à l'accoutumée apportera un plus immense à votre dimension sexuelle.

Bonnes soirées chaudes !

Ça n'a pas été compris par tous, malheureusement. Beaucoup sont restées bloquées sur le fait que l'homme était déjà nu dans l'exemple donné par la Confidente. Elles imaginaient entendre un goujat dire: "Enweilles! Stimules-moé!" alors que moi, j'entendait précisément ce que j'avais déjà failli dire à d'autres (mais jamais osé à l'époque):

"S'il-te-plaît, caresses-moi. Fais-moi me sentir désiré, moi aussi..."

Passion et Sensualité

Ce qui me motive à aborder ce sujet, c'est ce post que j'ai lu sur le blogue de Mère Indigne.

Bon! Je vous l'avoues, lire ça m'a choqué ! Ça m'a ramené tout pleins de "flash-backs" sur ce que j'avais vécu.

Le post en question, pour ceux qui n'auraient pas envie de s'en taper la lecture (et des 159 commentaires (au moment d'écrire ces lignes) qui ont suivi), parle du sexe après l'accouchement.

Je présume que Mère Indigne, comme auteure qui possède un vaste lectorat qu'elle cherche à satisfaire, "beurre épais" dans sa façon de s'exprimer. Mais, Shit! elle a vraiment pas fait dans la dentelle !

La vérité qui fait mal, messieurs (et mesdames qui n’ont pas
d’enfant), est la suivante: après avoir accouché, non seulement on n’a pas le goût d’avoir du sexe, mais on n’a même pas le goût de se demander si, oui ou non, on a le goût d’avoir du sexe.

La vérité qui tue, c’est qu’on ne veut tout simplement pas
y penser.

(...)

Et pour les nymphomanes perverses qui veulent du sexe
immédiatement (c’est-à-dire moins de six mois) après l’accouchement, allez former un club...

Bon! Je ne suis pas intervenu là-bas. Primo, dans les 159 interventions, il y a eu amplement de dissentions. Secundo, c'est SON blogue... c'est donc son show à elle. La raison d'être de son blogue, son sujet principal, c'est de raconter la vie à partir du point de vue d'une femme qui vit sa maternité.

La raison d'être de MON blogue, c'est d'explorer la vie sous le point de vue d'un homme.

Oh! Il y a baucoup à apprendre en lisant le blogue de Mère Indigne, particulièrement dans ce post précis. Ça permets de comprendre bien des choses sur l'état libidineux de la femme post-accouchement: Les douleurs, la fatigue, le stress, l'impact des transformations physiques, etc...

Que la libido de beaucoup de femmes soit au point mort suite à l'accouchement est, selon moi, tout à fait compréhensible et, selon moi toujours, un homme qui serait incapable de comprendre cet état et de mettre ses désirs de côté pendant cette période est un horrible égoïste.

Là où je m'insurge, par contre, c'est lorsque certaines femmes sombrent aussi dans l'égoïsme abject en adoptant la philosophie de "Maintenant que je suis mère, laisse-moi tranquille avec tes petits besoins charnels. J'te laisserai savoir quand ça va me tenter. d'ici là, fais-toé un noeud dedans!".

"W.W.T!" comme dirait mon ami Jocelyn (pour "Woh! Woh! Tabarnak!")

C'est pas mieux, ça! Il y a là un principe de respect mutuel de base essentiel au couple. S'il est normal que quelqu'un comprenne et acceptes que la libido du (de la) conjoint(e) est au point mort pour une raison ou une autre, il est impératif que le (la) conjoint(e) acceptes et respectes l'existence du désir de l'autre.

En clair, avoir la libido à zéro n'est PAS une justification pour considérer la libido de l'autre comme superficielle ou, pire, comme perverse !

J'ai vécu ça, me sentir coupable d'éprouver du désir de passion envers une femme qui ne me désirait pas. J'ai connu ce sentiment horrible, celui de se faire considérer comme un dégoûtant violeur potentiel, suite à une simple marque d'affection.

J'vais m'approprier de l'expression de Jocelyn et la modifier un peu: "P.J.T!" (pour "Plus Jamais! Tabarnak!")

Pour ceux qui me liraient pour la première fois, je m'explique...

Je me suis fait royalement baiser, dans ma première véritable relation, en considérant que la baisse de passion au sein du couple comme étant "normale". On pourrait presque considérer celà comme un traumatisme.

J'ai passé des années auprès d'une femme dont la libido était au point mort, à être patient à sa demande, à attendre que les choses s'améliorent. Mais je n'aurais pas dû: Dans mon cas, l'abscence de passion était représentative de l'abscence d'Amour.

Quand la libido de Madame lui est revenue, c'était pour quelqu'un d'autre ! Et, même quand ça a "floppé" avec cet homme précis, sa passion retrouvée a été dédiée à un autre que moi, mon ex-meileur ami en l'occurence!

Je ne crois pas qu'aucun lecteur ne pourrait me blâmer, donc, d'être resté avec au moins une séquelle de cette expérience.

Oui, je l'avoue, j'associe aujourd'hui "Amour de couple véritable" avec "Passion sensuelle".

Évidemment, moi, je ne considères pas cette association comme étant une "séquelle d'un traumatisme". Je considère plutôt la chose comme étant un "apprentissage suite à une expérience de vie".

Quand on y pense un peu, même si ça serait une "séquelle", ça pourrait être pire. Je pourrais être un paranoïaque posessif, convaincu de l'infidélité petentielle de ma nouvelle conjointe. Je pourrais aussi tomber en panique totale lors de ces occasions où la fatigue et le stress de ma conjointe lui cause une baisse de libido. Or, ce n'est pas le cas.

Ma "séquelle", c'est d'accorder une importance beaucoup plus grande qu'avant à la Passion et à la Sensualité... non seulement dans mon couple, mais dans TOUT ce que je fais. Ça s'apparente à la rage de vivre qu'éprouve celui qui a frôlé la mort de près suite à une maladie ou un accident. Pourquoi il faut vivre une expérience traumatisante quelconque pour saisir l'importance de mordre dans la vie à pleines dents ? Ça me dépasse !

C'est pourquoi je trouve épouvantablement triste d'observer des gens qui tentent de justifier leur baisse de Sensualité et de Passion comme étant "normale". Elle est compréhensible. Elle est "acceptable" dans certains cas de fatigue et de stress (et avoir accouché récemment se qualifie sans problème!)

Mais cette situation n'est pas "normale" ! Elle se doit d'être temporaire et d'être considérée comme telle !

M'enfin... L'avenir me confirmera un jour si j'ai raison d'accorder autant d'importance à la Passion et à la Sensualité dans ma vie.

En attendant, laissez-moi vous confirmer le plaisir et le bien-être que je vis en étant quelqu'un de Passionné et Sensuel... et de partager ma vie avec quelqu'un d'aussi Passionnée et Sensuelle que moi ! ;-)

Quelle sorte d'homme êtes-vous ?

Le sujet précédent était passablement lourd. En voici un plus léger... ;-)

Avant ma séparation, j'avais quelquefois entendu parler de ces thérapies de groupes composées entièrement d'hommes qui cherchaient à définir leur identité masculine. Certains de ces groupes faisaient même des retraites fermées dans la nature où ils se comportaient en véritables primates, luttant dans la boue. D'autres groupes, eux, parlaieint de leur émotions ad nauseam...

Hé que je me suis moqué de ce phénomène !

Quand mon ex-femme m'a quitté, par contre... j'la riais pu pantoute !!!

À ce moment, je me suis sérieusement et entièrement remis en question sur ma valeur en tant qu'homme.

Dans ma relation de couple, j'avais toujours été passablement "moderne". J'avais (et j'ai toujours) un profond mépris pour ces hommes qui traitent leur femmes comme des citoyennes de second rang... comme des servantes n'existant pour leur bons désirs.

Je pouvais accepter sans trop de problèmes ces situations où la femme devenait une ménagère par choix... mais ce n'était pas le genre de relation que je voulais vivre avec ma conjointe. Moi, je voulais une relation qui prendrait la forme d'un partenariat égalitaire. Il n'était pas seulement normal mais même essentiel que ma conjointe s'accomplisse professionellement.

Parrallèlement, j'acceptait d'office que, s'il n'était plus de mon essor exclusif de ramener de l'argent à la maison, il était tout à fait normal que l'entretien de ladite maison ne soit pas de l'essor exclusif de ma femme. Je faisais donc ma juste part dans tout ce qui concerne le lavage, le ménage et, bien sûr, les soins à apporter aux enfants. Des couches pleines, laissez-moi vous assurer que j'en ai changé plus que ma part ! ;-)

Mais, quand elle m'a quitté, toute ma perception de moi-même s'est écroulée comme un château de cartes !

Ma première réaction a été de me blâmer moi-même, et ce, dans les deux extrêmes du spectre.

D'une part, ma charmante "ex" m'a vraiment fait sentir comme si elle avait été la pauvre victime d'un Néanderthal qui l'avait traînée contre son gré dans sa caverne. Son incapacité à m'exprimer ses désirs lorsqu'elle était en désaccord avec moi avait pour conséquence que l'on faisait toujours selon mes décisions. À la rupture, j'ai eu à faire face à un torrent de reproches... des choses dont je ne m'était jamais douté !

Alors, oui, je me suis senti épouvantablement coupable. Avais-je vraiment été si insensible à ses besoins et ses désirs ? Est-ce que je "l'écrasais", la pauvre p'tite fleur fragile, avec mes manières rustres et primitives ?

À l'autre extrémité du spectre, j'ai ressenti les choses comme si, à quelque-part, je n'avais pas été "assez homme".

J'avais échoué, après tout, à maintenir son désir sexuel envers moi. Vers la fin, elle m'a traité avec dégoût et mépris. Avais-je été trop "homme-rose" ? Étais-je rendu trop "domestiqué" (lire "émasculé") pour elle ?

Je regardais autour de moi et je voyais de véritables belles femmes au bras de parfaits salauds. Pourquoi était-ce les salauds et les bums qui "scoraient" et que moi, je me retrouvais seul ? Ouais... pas excitant ben-ben ça, un père de famille dévoué qui essaie, tant bien que mal, de travailler fort pour assurer un certain confort à sa famille... Où était le "rebelle" en moi... l'aventurier mystérieux... le killer aux yeux perçants ?

Alors, comme vous le voyez, j'étais complètement décontenancé sur ma valeur en tant qu'Homme. J'savais plus si j'avais été trop "macho"... ou trop "fif" ? (mes sincères excuses aux lecteurs gais qui pourraient me lire... J'suis pas homophobe. C'est une expression seulement.)

Comme tant d'autres personnes blessées avec leur Égo dans les ÉGOûts, j'ai cherché à me rebâtir dans les bras de d'autres femmes (et pas justes leur bras!). Évidemment, je puais le coeur brisé à des kilomètres à la ronde et la seule chose que j'aurais pu pogner (et encore!), c'était un rhume!

C'est alors que j'ai découvert la section Courrier du Coeur de RéseauContact.

Juste le fait de voir que je n'étais vraiment pas le seul avec mes questionnements et ma peine m'a fait un bien énorme. Pas encore "embarqué" dans le phénomène, je me contentais de lire au début. Puis, un jour fut publié la confidence d'une femme qui s'apprêtait à quitter son mari... un "maudit bon gars" selon ses propres dires... mais qui ne l'excitait plus !

J'ai pété une coche! Et solide, à part de ça! Je lui ai écrit une poignée de bêtises... et, le pire, c'est que j'ai eu énormément de "feedback" positif de la part des autres intervenants !

Encouragé par ce feedback positif... et par le soulagement éprouvé en me libérant d'une portion de mon trop-plein de colère de cette façon, j'ai continué à intervenir de plus en plus souvent sur les autres confidences...

Ça a duré environs deux ans... deux années dans lesquelles j'ai effectué mon processus de deuil. Ce processus fera sûrement l'objet d'un posting éventuel car c'est un sujet à part. Pour l'instant, il suffira de dire que, à un certain moment, j'ai compris qu'il fallait que je chemines vers le pardon car, autrement, j'étais condamné à rester malheureux toute ma vie. J'ai aussi compris que, au moment où je ventilais mes colères et mes frustrations, les commentaires positifs provenaient de personnes qui étaient exactement comme moi: Blessés et en colère !

Un autre phénomène que l'on pouvait observer sur le Courrier du Coeur, c'était celui de la Guerre des Sexes. Comme les autres hommes blessés, j'en voulais aux femmes en général. Et, à l'inverse, il y avait des groupes de femmes qui en voulaient aux hommes. Un phénomène qui me mettait positivement hors de moi était celui où, lorsqu'il y avait la confidence d'un homme qui manifestait le désir de quitter son épouse, ce dernier se faisait traiter de tous les noms... mais, si une confidence identique avait été écrite par une femme, cette dernière recevait non seulement de la compassion... elle recevait même de l'encouragement !!!

J'avais alors adhéré à la théorie voulant que le "balancier" avait été trop loin de "l'autre bord". Que les femmes, maintenant qu'elle avaient obtenues leur libertés et leur indépendance, avaient commencées à "abuser" de l'infidélité et du divorce... caractéristiques et agissements répréhensibles qui n'étaient réservées, autrefois, qu'aux mâles de notre espèce!

Foutaises, évidemment... mais j'pensais pas trop clairement à l'époque! ;-)

Et c'est justement à cette époque, le coeur durci par la peine et la colère, que je suis devenu un salaud...

Mais attention ! Pas n'importe-quelle sorte de salaud ! J'avais quand-même une conscience et un code moral ! J'suis pas devenu un batteur de femmes, un abuseur ni un violeur ! Mieux encore, j'allais même pas mentir pour obtenir ce que je voulais. On pourrait même pas me reprocher çà, d'avoir été malhonnête !

Comment suis-je devenu un salaud, alors ? En étant charmant, tout simplement !

Voyez-vous, j'étais tellement en colère contre les femmes que ça m'a, en quelque-sorte, libéré. Ce n'était plus grave si je "pognais" ou non... je m'en foutais éperdûment. Et, ainsi libéré, j'affichais une qualité qui est sans doute celle qui est la plus séduisante de toute: Une absolue confiance en moi !

Je m'étais choisi un crédo pour orienter mon code de conduite. Un crédo que j'avais entendu de la part d'un stand-up comic américain nommé Sam Kinison. Un de ses monologues, libéralement traduit, se lirait ainsi:

J'peux rien imaginer de pire pour un homme que de se faire dire par une
femme, lorsqu'il vient tout juste de terminer de faire l'amour avec elle:

" Wow! C'est beaucoup plus relaxant avec toi. T'es pas comme mon désaxé
d'ex. Lui, y me faisait TOUT !!!"

F***k that ! J'veux que ça soit MOI, le désaxé !!! J'veux être le pire cauchemar du gars qui va me suivre ! J'veux être la deuxième relation sexuelle dont elle se souviendra le plus, après la perte de sa virginité !

Comprenez-vous ce que j'entends par "salaud" ? Je veux dire "l'équivalent masculin de la salope" !

Allez pas vous imaginer un donjon BDSM là ! Que non! C'était beaucoup plus subtil. Disons simplement que j'en "beurrais épais" sur le charme et la séduction.

Et çà marchait! Libre à vous de me croire ou non mais, à un moment donné, une de mes conquêtes, lorsque tout fût fini, s'est mise à pleurer. Quand je me suis approché pour lui demander ce qui n'allait pas, elle m'a kâl***sé un coup de poing sur la gueule en me disant: "T'avais pas d'affaires à me faire vivre ça dans un one-night stand!" !!!!

Dur pour ma pomme... mais excellent pour mon Égo !

Anyways...l'épisode du coup de poing a quand-même marqué la fin de ma brève "carrière" de "salaud". Ouais, ça avait "fait la job": Mon Égo était remonté ! Malgré le fait que je n'étais pas extraordinairement beau, malgré le fait que je n'étais pas riche, je savais maintenant que je pouvais non seulement séduire de belles femmes, je pouvais aussi être excitant pour elles, suffisamment pour qu'elles veuillent revenir !

J'étais "salaud" dans la mesure où je séduisais ces femmes et que je les amenais à coucher avec moi alors que je savais pertinemment bien que je n'étais pas en mesure de les aimer. Et j'étais clair à ce sujet, AVANT même qu'elles ne se déshabillent...

Mais, honnêtement, je me sentais mal à tous les lendemains. Je me sentais beaucoup plus vide dans mon coeur que dans l'autre partie de mon anatomie...

Croyez-moi, le sexe sans amour... c'est plutôt quelconque. À la limite du "poche".

Après cette épisode d'enfilade (jeu de mots facile non-intentionnel) de one-nights, j'ai vécu une première tentative de relation... une où j'ai voulu aimer... mais où je n'ai pas pu le faire. Ce sera le sujet d'un autre posting.

Aujourd'hui, c'est une toute autre histoire. Je suis en amour avec une femme superbe, avec qui j'ai un fun immense dans la vie (et oui, au lit aussi. J'ai encore gardé le même crédo. Si ça fouère entre nous, je plains sincèrement le pauvre plouc qui va me suivre! ;-) )

Le plus drôle, c'est que j'ai fait un full circle... c'est-à-dire que j'agis fondamentalement avec cette femme comme j'agissais avec mon "ex". Je fais tout autant le ménage et le lavage qu'avant et j'agis encore en "macho Néanderthal" de temps à autres.

Je vis exactement le même idéal de vie que j'ai toujours voulu vivre, en étant qui j'ai toujours fondementalement été.

La seule différence, c'est qu'aujourd'hui, j'en suis conscient !

J'ai récemment trouvé un terme pour décrire, sinon comment je suis, au moins comment je me perçois: Übersexuel.

Et vous ? Quel genre d'homme êtes vous (ou quel genre d'homme vous plaît) ?

Persister une relation ou pas ? (2ème partie)

Le problème auquel je fait face est que ma femme a complètement perdu le désir et pas juste envers moi. Elle a plus le goût de faire l'amour, plus le goût de sensualité. Zéro. Il y a un tas de raisons pour ça qui lui appartiennent et franchement, je n'y peux pas grand chose. Elle n'est pas ouverte à se faire séduire, ça ne lui dit plus rien.

Je peux accepter la situation et mettre mon propre désir entre parenthèses et dans ce cas je suis condamné à être malheureux à perpétuité. Non merci.

Bon, cet extrait d'une intervention de 40tenaire ambivalent dans mon posting précédent m'a fait réagir car c'est ainsi que j'ai vécu les deux dernières années de ma vie d'homme marié.

Moi aussi, mon "ex" manifestait une panne complète de désir... pas seulement envers moi, mais, générale en apparence. J'ai alors fait ce que je croyais être une bonne chose: J'ai attendu que çà passe.

Oh! Ça a passé, all right ! Quand sa libido est revenue, elle est revenue avec une vengeance. Le seul hic... c'est que je n'en était plus le récipiendaire !!!

Madame s'était prise un amant et moi, le pauvre pignouf qui avait mis sa dimension sexuelle complètement de côté par amour pour elle, je n'existais plus...

Je me suis donc juré "Plus jamais!".

Cette promesse que je me suis faite il y a longtemps tient toujours aujourd'hui. Mais attention ! Je ne dis pas "Tu fais mieux de toujours avoir le goût de faire l'amour lorsque l'envie me prends, autrement, j'te sacres dewors!" Pas du tout ! Ce que je dis, c'est plus jamais je vais laisser une relation se détériorer à ce point sans réagir, sans attaquer le problème de front. Et, surtout, plus jamais vais-je penser qu'une manque d'attirance sexuelle à mon égard est parce-que je serais non-désirable.

Parce-que c'est là la cause première du problème: Notre Égo, notre faible estime de nous-même.

Vous en doutez ? Deux arguments pour etayer mon affirmation.

D'une part, vous ne faites rien. Vous mettez vos besoins entièrement de côté pour accomoder l'autre. Traduction: Vous ne vous aimez pas suffisamment pour assurer votre propre bonheur et votre propre bien-être. L'Autre et ses besoins priment.

L'autre possibilité: Vous vous trouvez une maîtresse ou un amant, selon le cas. En quoi est-ce significatif d'un Égo faible ?

Hé bien ! Que croyez-vous, dans une telle situation (où la relation illicite est motivée par le fait que notre partenaire de vie ne manifeste plus aucun désir à notre égard), qu'est la motivation principale de ladite relation extra-conjuguale ? Un exutoire à la tension sexuelle refoulée ? Un moyen d'obtenir satisfaction ?

Non! C'est un moyen de se rassurer sur notre sex-appeal. Sur notre potentiel de désirabilité. Sur notre capacité à séduire et conquérir.

Une personne sûre d'elle-même et de ses moyens n'a pas à mettre ses besoins de côtés ni à chercher la validation de son potentiel dans une relation illicite.

Il n'y a, en fait, qu'une seule façon digne et honorable de faire face à une telle situation: Directement et sans détour avec notre partenaire de vie Et ce n'est pas un exercice facile... mais, quand on y pense, c'est quand-même beaucoup plus simple que toute autre alternative.

Comment s'y prendre ?

Certaines personnes ont déjà couvert le plus important: Seul le dialogue, franc, sincère et ouvert peut nous sortir d'une telle mauvaise passe. Parler au "Je" sans accusations est primordial dans un tel dialogue.

Exemple: "Chérie, je tiens tout d'abord à te dire que je t'aime encore et que j'aimerais beaucoup que notre relation soit une réussite dans laquelle nous serions tous les deux heureux. Or, je suis malheureux(se) en ce moment. Je ne ressens pas de désir de ta part et, en plus de me rendre sexuellement frustré(e), je me sens moche dans les yeux de la personne evers laquelle j'aimerais le plus me sentir beau (belle). Je ne veux plus me sentir ainsi..."

Si la personne à qui on dirait ceci nous aime encore, condition essentielle à la réussite, elle comprendra notre désarroi et voudra faire quelque-chose pour remédier à la situation. Il est fort possible aussi que cette personne ne sache pas comment y remédier. Soyez alors prêts à recourir à de l'aide extérieure.

Soyez prêts, par contre, à ce que çà ne fonctionne pas comme vous l'espérez. Il y a tant de scénarios possible pour mener à l'échec et vraiment très peu qui mènent à la réussite. Dans les scénarios d'échecs possibles, il y a notamment:

• La personne se fâche et cherche à soit dénigrer votre besoin, soit rejeter le blâme sur vous ;
• La personne acquiesce... et ne fais rien ;
• La personne ne vous aime véritablement plus et n'est pas encore arrivée à se l'avouer à elle-même;
• La personne refuse l'aide extérieure;
• etc...

Dans ces cas-là, vous n'avez pas le choix: Vous devrez mettre un terme à la relation et trouver votre bonheur ailleurs. Oui, ça va être dificile. Un présent malheureux semble souvent préférable à un avenir incertain. La peur de la solitude, la culpabilité envers vos enfants, l'insécurité face à votre futur, le sentiment d'échec et, plus que tout, le sentiment pénible de ne pas avoir été suffisamment aimé(e) pour mériter que votre partenaire ait vote bonheur à coeur.

Malgré tous ces sentiments négatifs, vos doutes et vos peurs, souvenez-vous toujours de ceci: Vous méritez d'être aimés pour tout ce que vous êtes, tel(le)s que vous êtes... et vous avez droit au bonheur.

Et, même si la personne vous aime encore suffisamment pour essayer d'arranger les choses, il n'y a aucune garantie de réussite. L'Amour et le désir ne se commande pas. Pis encore, attendez-vous à apprendre des choses qui vous boulverseront peut-être car il est fort possible que l'amour et le désir de notre partenaire se soit éteint par notre faute, sans même qu'on le sache.

Dans de tels cas, il faut savoir faire la part des choses et être suffisamment ouverts pour s'introspecter... vraiment s'introspecter...et déterminer si ces choses sont:

• Des choses valables que l'on aime pas de nous-mêmes et que l'on aimerait changer ;
• Des choses valables qu'on serait prêt à sacrifier par amour pour notre partenaire ;
• Des choses valables... mais qu'on ne peut changer tout en restant soi-même, ou ;
• Des choses non-fondées mais que l'on peut tenter de clarifier (car, fondées ou non, les raisons invoquées par notre partenaire pour expliquer comment on a contribué à l'abscence de désir que l'on suscite sont toujours valables... pour eux!)

Faire la distinction entre ces catégories, accepter leur validité d'office... et faire le choix entre essayer d'y remédier ou accepter que l'on ne peut pas y remédier sans changer qui nous sommes fondamentalement sont toutes des choses très difficile à faire.

Mais, si on veut pouvoir se regarder dans un miroir en se disant que l'on est une personne honorable et intègre qui avons tout fait en notre pouvoir pour notre relation de couple... on a pas le choix! Ce sont les seules avenues possible !

Maintenant... qui suis-je pour faire de telles affirmation. Qu'est-ce qui me rends si spécial pour oser dire ce qu'une personne honorable et intègre devrait faire ?

C'est simple: Je suis un homme qui a fait des erreurs dans sa vie... et qui n'a pas toujours été aussi honorable et intègre qu'il aurait voulu être. Et, inmanquablement, à chaque fois que j'ai posé des gestes qui m'éloignaient de mon idéal d'honneur et d'intégrité, c'était toujours lié à mes peurs et/ou mon manque d'estime de moi-même.

J'espère avoir appris de ces erreurs. Les verbaliser sur ce blogue me permettent d'avoir dans la face les erreurs que j'ai commises dans le passé afin que les leçons que j'en ai tirées demeurent.

Si ça peut aider quelqu'un d'autre par la même occasion... tant mieux!

Persister une relation ou pas ?

Wahou ! J'suis tout heureux ! Quelqu'un m'a fourni mon premier sujet de discussion !

En effet, 40tenaire ambivalent a laissé la question suivante dans mon posting précédent:

Quand le couple est au neutre et que l'envie d'aller voir ailleurs devient une
source de frustration plus qu'autre chose, est-ce que je fais bien de lancer un
ultimatum clair où devrais-je être *encore* diplomate et patient pour que les
choses s'arrangent?

Ouf! T'en avais pas une plus difficile ? ;-)

J'ai vécu les deux côtés de cette médaille et, très honnêtement, j'suis pas sûr quel côté était le pire !

Quand on se fait abandonner par la personne que l'on aime, la pire blessure est celle qui est faite à l'Égo.

Et, quand c'est NOUS qui "abandonnons" une personne qui nous aime, le sentiment prévalent est celui de la culpabilité.

Or voilà, la recherche du bonheur est le droit le plus précieux dont dispose tout individu. Tout le monde a droit à son bonheur et, par conséquent, il est totalement illogique de s'entêter à persévérer et prolonger une relation de couple qui ne nous comble plus et qui nuit à notre recherche légitime du bonheur.

Mais attention ! Mettre un terme à la relation de couple est elle vraiment LA solution ? Pas sûr. Pas toujours.

Comment s'assurer alors que c'est la bonne solution pour nous ? Comment savoir que nous ne regretterons pas notre décision dans 6 mois ?

Ce week-end, je vais élaborer sur le sujet...

INTRODUCTION

Bienvenue dans mon petit coin du cyber-espace !

J'ai décidé de me lancer, moi aussi, dans cette intriguante expérience sociale moderne qu'est le phénomène des blogues. La durée de cette expérience ne dépendra que de vous, chers amis lecteurs. Si je réussis à générer chez-vous suffisamment d'engouement et d'intérêt pour que vous prenez le temps d'écrire une intervention, je serai encouragé à continuer. Si mes écrits restent lettres mortes, l'expérience s'arrêtera là. Pas plus grave que çà.

Alors, commencons par le commencement...

QUI SUIS-JE ?

Je suis un homme de 36 ans qui travaille à Montréal et qui habite dans une petite maison de banlieue. Je suis père de deux garçons, âgés respectivement de 6 et 8 ans, dont j'ai la garde partagée, une semaine sur deux.

Hé oui, comme tant d'autres, je suis un homme divorcé. La séparation d'avec mon ex-épouse date d'il y a 5 ans et le divorce a été finalisé il y a trois ans maintenant.

Non, ce blogue ne sera pas l'oeuvre d'un homme au coeur brisé, d'un homme en deuil, qui cherche à ventiler sa peine, sa colère, sa confusion et sa frustration dans l'anonymat du cyber-espace. Been there, done that and got the fu***ing T-Shirt!

Au contraire, pour la première fois depuis longtemps... et, à bien y penser, possiblement pour la première fois de ma vie... je suis vraiment heureux et bien dans ma peau.

Et c'est ÇÀ que j'ai à contribuer... la seule chose que je prétends avoir de "spécial".

Car, autrement, je suis tout ce qu'il y a de plus simple: Je ne suis ni riche, ni pauvre. Je ne suis pas un sportif invétéré, je n'ai pas de passions particulières, je ne suis pas un "playboy" qui va vouloir se vanter de ses conquêtes et je ne suis pas un adepte des sports extrêmes en quête d'un rush d'adrénaline.

Je suis un homme, tout simplement... La seule aventure que je vis, c'est celle de la Vie. La Vie d'un homme de la Génération "X" au Canada en 2006.

Et c'est cette aventure que j'aimerais partager avec vous...

POURQUOI CE BLOGUE ET À QUI S'ADRESSE-T'IL ?

Unes des dures réalités de notre vie moderne est le manque de temps que nous disposons pour l'interaction sociale. Dans le cadre de mon travail, j'interagis avec des centaines de personnes à toutes les semaines. Je suis plus près de certaines de ces personnes que je ne le suis avec d'autres... mais de véritables amis avec qui je pourrais partager mes joies, mes peines, mes doutes, mes questionnements existenciels... je n'en ai pas. Je n'ai ni le temps, ni l'energie requise pour cultiver et développer de tels liens.

En fait... ce n'est pas exact. Dieu merci, car ce serait pathétique, pas à peu près! ;-)

J'ai effectivement des amis avec lesquels j'ai développé de tels liens d'intimité.

D'abord et avant tout, j'ai ma conjointe. Elle est sans contredit ma meilleure amie et on peut se dire absolument tout. Je vis vraiment une relation merveilleuse avec elle et cette relation sera le sujet principal de plusieurs de mes postings. Mais la relation conjoint/conjointe, chum/blonde, mari/épouse... çà ne comble pas tous nos besoins d'interaction sociale. À plus forte raison nos besoins d'amitiés et d'interaction avec les gens de notre sexe.

Ensuite, j'ai mes véritables amis. J'en ai peu et ils se comptent sur les doigts d'une seule main. Ce sont des amitiés qui ont été forgées, dès le départ, dans quelque-chose de solide et d'inébranlable: Ce sont mes anciens frères d'armes de la Marine (J'ai été marin militaire pendant 6 ans, d'où mon pseudo "Sailor"). Malheureusement, nous sommes dispersés à la grandeur du pays, d'Halifax à Victoria, et nous n'avons pas l'opportunité de nous voir souvent.

Ce blogue est évidemment public et ouvert à tous... mais il s'adresse d'abord et avant tout aux gens qui me ressemblent un peu. Il s'adresse aux gens qui sont comme moi désireux d'interagir et de partager des choses que l'on ferait normalement avec des amis intimes. L'anonymat relatif d'internet permet ceci de fonctionner et de remplir ce besoin que nous avons tous.

La liste suivante n'est pas exhaustive... mais elle donne un apperçu du style de gens qui, je crois, pourraient trouver un certain plaisir à interagir ici. À savoir:

• Les pères de tout acabit. Divorcés ou non, monoparentaux ou non. Tout ce qui compte, c'est que vous soyez des hommes qui s'investissent activement dans le développement d'un enfant. D'ailleurs, ceci englobe deux autres sortes d'hommes.
• Les nouveaux conjoints de mères monoparentales. Vous n'êtes pas vous-même père biologique mais allez, veut/veut-pas, devenir adulte significatif dans la vie d'un enfant , et ;
• Les pères qui vivent le phénomène de familles reconstituées.

Un autre sujet sur lequel j'aime bien discuter, ce sont les relations affectives. Les gens suivants sont donc cordialement invités à se manifester:

• Hommes vivants les difficultés d'une séparation. Vous vivez une peine d'amour ? Votre couple s'est terminé et vous en souffrez ? Parlez-en ici. J'ai vécu ce phénomène et vous trouverez ici une écoute compatissante... non seulement de moi, mais aussi de nombreux autres hommes qui vivent ou qui ont vécu ceci ;
• Hommes en couple contemplant soit l'infidélité, soit mettre un terme à leur relation. Pas de jugements ici et encore moins de "garrochage de roches". En parler peut vous aider à y voir clair afin de prendre les bonnes décisions ;
• Hommes vivant des difficultés de couple. La vie de couple n'est pas facile, peu importe l'intensité de l'Amour qui vous unis. Parlons-en afin de partager nos trucs pour garder nos relations saines et agréables avec nos conjointes.

Outre la paternité et les relations affectives, un autre sujet qui sera discuté ici, c'est:

• Hommes au travail. Difficultés avec patrons, collègues et/ou employés. Conflits. Changement d'emploi ou même de carrière. Un pourcentage significatif de notre temps est consacré à notre vie professionelle. Parlons-en!

Et les femmes, dans tout çà ?

Je ne vous oublie pas, mesdames ! ;-) Si ce blogue "décolle", vous aurez ici l'opportunité de lire et comprendre beaucoup de choses sur la mentalité des hommes... des choses que vos conjoints actuels ou éventuels pourraient avoir du mal à vous expliquer. Sentez-vous bien libre d'intervenir et de questionner !

COMMENT J'AI L'INTENTION DE PROCÉDER

Je suis parfaitement conscient que ceci est un blogue et non pas un forum de discussion... mais je suis plus familier avec le concept des forums que celui des blogues. Selon ce que j'ai pu remarquer dans les autres blogues que j'ai consulté, beaucoup de bloggueurs écrivent des tranches de leur vie et les gens commentent sur ce qu'ils ont lu.

Coupons donc la poire en deux ! ;-)

Au début, je lancerai certains sujets en vous racontant des tranches de ma vie. Ces sujets seront alors ouverts pour discussion et les gens sont invités à partager leurs propreas histoires ou expériences sur le sujet traité. Quiconque qui aimerait me voir discuter d'un sujet précis peut m'en faire la demande soit en intervenant directement sur ce blogue, soit en m'écrivant un courriel à mon adresse sailor207@hotmail.com . Je lancerai alors le sujet en particulier pour en discuter. Ceux qui m'écrirons par courriel pourrons, s'ils le désirent, rester anonymes.

Ça vous va ? ;-)

MES "INSPIRATIONS"

C'est ma conjointe, Lady_Marian, qui m'a fait découvrir les blogues. Elle éprouvait les mêmes besoins d'interaction sociale que j'ai expliqué plus haut. Elle a donc parti son propre blogue, "Chroniques d'une méchante belle-mère" où elle raconte ses expériences d'ex "vieille-fille" qui est tombée en amour avec un père monoparental (Moi, en l'occurence! LOLL!). Sur son blogue, elle partage avec d'autres ses expériences, ses joies et ses difficultés. Difficultés ? Ben oui!

Imaginez un peu ce que ça puisse être que d'être une célibataire totalement libre, sans aucune autre responsabilité que son chat, de vivre une petite vie "Jet-Set/BCBG" et, du jour au lendemeain, se retrouver à vivre la vie de "mère de famille en banlieue"... mais sans le "statut officiel" d'être "mère" !

Pas évident! Mais elle s'en sort à merveille et vous êtes invités à consulter son blogue pour y suivre ses aventures !

Il y a d'autres blogues qui m'ont inspiré, notamment "La célibataire urbaine", "Le Barman" et "Mère Indigne".

Bon! C'est tout pour l'instant ! Que ma petite aventure de bloggueur commence !